Quand il arrive enfin, il faut décrocher en laissant le moins de monde possible en arrière, tout en tenant en respect des poursuivants sûrs de leur victoire.
Dans ces situations de crise, des « kampfgruppen » sont montés en urgence avec les unités mobiles immédiatement disponibles.
Leur mission, tenir ouvert un corridor par lequel vont pouvoir s'extirper les Landsers épuisés et épouvantés à l'idée de la captivité.
Pris sous les feux combinés d'infanterie, de mortiers lourds, de lance-fusées, d'automoteurs divers arrivant par tous les coins de table, même de Lavotchkine et de Yaks, malgré de lourdes pertes, les fuyards, à pied, en camions, sur tracteurs, à cheval…, sur un terrain difficile, vont malgré tout parvenir à rallier une position d'arrêt.
Elle tiendra jusqu'à ce que les Soviets amassent assez de moyens pour la rendre à son tour intenable, nécessitant un nouveau repli ...
Avantage à l'allemand pour cette partie.
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