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27 nov. 2014

Un épisode de la campagne de Russie, juillet 1812

Le français devant faire sauter un verrou tenu par le russe.

Les positions ne sont pas définitives, des renforts continuent d'arriver.


L'affaire commence sur la gauche russe par une explication de "légers", chasseurs du Tsar en vert contre ceux du 15ème d'infanterie légère en bleu.
Sauf qu'à cet exercice, les Français sont les plus forts.


Les bataillons russes, agissant indépendamment, sont mis l'un après l'autre hors de combat par le feu précis du 15ème, tandis que les stotnias de cosaques placées pour les soutenir ne peuvent se déployer à cause du terrain fermé et marécageux.
L'infanterie de ligne russe, mise en bataille tardivement, ne pourra empêcher la gauche d'être mise à mal, surtout par les terribles tirs des "bleus".


Le centre maintenant.
Objectif difficile pour le français, d'ailleurs surtout polonais (4e, 7e & 9e régiments), la défense russe prenant appui sur des vergers, fermes, haies …


Les trois assauts successifs franco-polonais, principalement contre un corps de ferme, se sont à chaque fois retrouvés pris sous des feux croisés des fusiliers de Narva, Tchernigorsk et Koursk, eux-même bien soutenus par des ½ batteries efficaces.


Malgré l'allant des troupes de Napo, les attaques ont été brisées tant par les tirs que par les obstacles désorganisant les unités…


La droite russe, tenue par des uhlans et hussards, est restée en stand-by face à une brigade légère française hussards / chasseurs à cheval.
Quelques tirs d'artillerie à cheval pour intimider l'adversaire, mais pas d'engagement.


Malgré le succès de sa droite, les difficultés rencontrées au centre ne permettent pas au français d'exploiter son avantage faute de réserve disponible.
Au contraire, voyant l'affaire bien engagée, le russe, et après ses « hourras ! » d'usage, commence son mouvement général au son des tambours et des fifres.


Les unités de l'empereur vont donc devoir abandonner la partie.
Le repli sera, tant bien que mal, couvert par la brigade de cavalerie légère ...