Combats en Normandie, juillet 1944

 La pression devient trop forte pour les unités allemandes retranchées dans ce corps de ferme.

Pour s'en extirper, deux sections d'infanterie et un char Panther sont mis à contribution.

De l'autre côté, voulant résorber ce saillant dans leurs lignes, les Américains gagnent eux aussi des moyens : tank-destroyers et artillerie.

Finalement, malgré la perte de plus d'une section, les Allemands ont eu l'avantage, ils ont réussi à évacuer.

Les Amerloques ayant eu plus de pertes, niveau points, et ayant laissé filer le gros des Allemands, sont vainqueurs sur la table mais pas au niveau de la partie...

La poche de Stalingrad, décembre 1942

Fin décembre 1942, la 6ème armée est encerclée.

Les Landsers manquent de tout, par une température glaciale.

La discipline teutonne et la peur de la captivité en Sibérie tiennent encore la cohésion des unités.

Les soviets tentent des reconnaissances en force essayant petit à petit de résorber/tronçonner la poche.

Un attaque en direction des faubourgs Nord de la ville, près des grandes usines,  manquant de mordant et une sous-utilisation de l'artillerie n'ont pas entamé les positions allemandes, malgré quelques pertes supplémentaires.

Les homme de la 6ème armée, sur le qui-vive malgré le froid terrible et les privations, ont réagi avec une étonnante promptitude, PAK et MMG retenant des soviets trop prudents, tandis qu'était rameutée dans l'urgence une unité de FLAK stationnée à peu de distance.

La Wehrmacht, pourtant terriblement diminuée, en imposera encore jusqu'à début février.