Le succès d'une offensive, en plus des moyens utilisés pour le premier élan, dépend ensuite de la manière dont on la soutient.
Les véhicules à roues, à cheval, transportant renforts et approvisionnements aux unités de tête doivent emprunter des voies de communication correctes pour livrer rapidement leur chargement.
Là, les unités du génie sont indispensables.
6 juillet 1944, à l'ouest de Maloarchangelsk, au 2ème jour de l'offensive vers Koursk
Les « Ferdinand » (Elefant en janvier 1944) écrasent tout sur leur passage, encadrés par des éléments plus légers, obusiers et canons d'assaut, chasseurs de chars, fantassins...
Les véhicules à roues, à cheval, transportant renforts et approvisionnements aux unités de tête doivent emprunter des voies de communication correctes pour livrer rapidement leur chargement.
Là, les unités du génie sont indispensables.
6 juillet 1944, à l'ouest de Maloarchangelsk, au 2ème jour de l'offensive vers Koursk
Les « Ferdinand » (Elefant en janvier 1944) écrasent tout sur leur passage, encadrés par des éléments plus légers, obusiers et canons d'assaut, chasseurs de chars, fantassins...
L'objectif de la matinée est une rivière, sur laquelle devra être posé un pont du génie permettant ainsi son passage par les véhicules ne pouvant traverser à gué.
Les pertes subies la veille ont contraint les soviétiques à se replier et à enterrer leurs chars.
Les pertes subies la veille ont contraint les soviétiques à se replier et à enterrer leurs chars.
Justement, à peine sortie des replis de terrain lui servant de zone de concentration, l'infanterie de la 78ème Stürmdivision s'est retrouvée dans un champ de mines et sous des tirs de 122 dont les plans de feu ont été calculés au plus juste, avec peu d'effet cependant.
La section mécanisée du génie, en pointe, a quant à elle été dès le départ engagée par des éléments d'infanterie soutenus par quelques armes lourdes.
Prise là aussi sous l'artillerie, elle en est venue à bout (à l'aide entre autre de lance-flammes ayant semé plus d'épouvante que de dégâts chez les défenseurs), et au prix de quelques pertes, dont deux de ses précieux S.D.K.F.Z. 251.
Sur la gauche, l'allemand est allé de surprise en surprise.
Contre attaques de blindés, chars T34 enterrés, groupe de reconnaissance disparu dans un bois...
Prise là aussi sous l'artillerie, elle en est venue à bout (à l'aide entre autre de lance-flammes ayant semé plus d'épouvante que de dégâts chez les défenseurs), et au prix de quelques pertes, dont deux de ses précieux S.D.K.F.Z. 251.
Sur la gauche, l'allemand est allé de surprise en surprise.
Contre attaques de blindés, chars T34 enterrés, groupe de reconnaissance disparu dans un bois...
Si les chars soviétiques ne sont pas allés bien loin, une section pourtant bien modeste de chars « Valentine » a neutralisé une section d'infanterie avant de succomber, tandis qu'une autre de S.U. 122, aidée en cela par des tirs très efficaces des T34/bunkers a vu ses équipages prendre d'assaut, comme des fantassins, un « Ferdinand » immobilisé, équipage « sonné ».
Ces quelques succès n'ont cependant pas empêché le gros des allemands d'avancer, éparpillant le dernier rempart soviétique avant la rivière : une section de T34.
L'allemand a subi des pertes mais a avancé, le soviétique malgré des bon plans de feu et la rentrée de ses réserves au moment opportun, n'a pu rivaliser avec lui sur le terrain.
Le pont va être mis en place, et c'est donc une victoire allemande aujourd'hui.
Mais les pertes s'accumulant, Koursk (et d'abord Ponyri ) étant encore loin, c'est pas gagné.
Bref, une partie complètement historique...
Le pont va être mis en place, et c'est donc une victoire allemande aujourd'hui.
Mais les pertes s'accumulant, Koursk (et d'abord Ponyri ) étant encore loin, c'est pas gagné.
Bref, une partie complètement historique...
Great looking game, very nice action shots!
RépondreSupprimerHello Ray
RépondreSupprimerThank's