Les restes d'un cavalry group poursuivis par les avant-gardes S.S. du kampfgruppe Hansen.
Les tentatives d'infiltration de début de partie pour tranformer la retraite U.S. en déroute n'ont pas abouti, les amerloques ayant donc pu tenir à distance leurs premiers « limiers ».
Un bouchon formé d'une section renforcée a même stoppé un moment une compagnie
de S.S. pourtant certaine d'en finir, mais ayant un peu négligé l'utilisation
de ses soutiens.
Des pertes irremplaçables, du temps perdu alors qu'il fallait faire vite, très vite, formule-clef côté allemand pour cette Bataille des Ardennes.
Ponts, carrefours, dépôts, collines pour l'observation d'artillerie, batteries d'artillerie laissées sans ordres ... étaient des objectifs à prendre.
Des pertes irremplaçables, du temps perdu alors qu'il fallait faire vite, très vite, formule-clef côté allemand pour cette Bataille des Ardennes.
Ponts, carrefours, dépôts, collines pour l'observation d'artillerie, batteries d'artillerie laissées sans ordres ... étaient des objectifs à prendre.
Sur la gauche, section de reco, matériel moderne, équipages pleins d'allant.
Des mines, premières pertes, mais malgré tout une progression soutenue sur les chemins boueux.
L'opération « Greif » (Otto Skorzeny) a également joué, Stuart et jeeps aux couleurs U.S. mais aux équipages allemands.
Malgré des débuts prometteurs, le Stuart finit immobilisé tandis que la supercherie des jeeps soi-disant U.S. fut assez vite éventée.
Résultats au final globalement décevants...
La déferlante de l'infanterie allemande ne s'arrêtera que devant le village, abritant un dépôt et défendu par des M.16 de D.C.A. et autres Half-tracks porte-mortiers, ainsi que quelques fantassins, restes d'unités défaites ou rameutées dans l'urgence.
Des mines, premières pertes, mais malgré tout une progression soutenue sur les chemins boueux.
L'opération « Greif » (Otto Skorzeny) a également joué, Stuart et jeeps aux couleurs U.S. mais aux équipages allemands.
Malgré des débuts prometteurs, le Stuart finit immobilisé tandis que la supercherie des jeeps soi-disant U.S. fut assez vite éventée.
Résultats au final globalement décevants...
La déferlante de l'infanterie allemande ne s'arrêtera que devant le village, abritant un dépôt et défendu par des M.16 de D.C.A. et autres Half-tracks porte-mortiers, ainsi que quelques fantassins, restes d'unités défaites ou rameutées dans l'urgence.
Sur la gauche encore, la reco bientôt soutenue par une section portée,
éliminera toute opposition, prendra même un pont « lourd », avant de devoir
finalement l'abandonner sous les coups des obusiers M7, hors table, mais aux
tirs réglés par un D.L.O. bien placé …
Le compte-rendu des opérations sur ce secteur, arrivant au P.C. de Sepp
Dietrich, n'est donc pas encourageant pour la suite...
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