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29 mars 2016

Liebertwolkwitz, octobre 1813

Voici une partie inspirée de la bataille de Liebertwolkwitz, un engagement de cavalerie qui se déroula le 14 octobre 1813 au Sud-Est du champ de bataille de Leizig.

Cent canons franco-alliés soufflent le 2e corps russe et forcent les bataillons prussiens qui les soutiennent à se mettre à couvert. Une brèche est ouverte, dans laquelle s’engouffre le maréchal Murat avec ses cavaliers français et polonais (on a adapté les ordres de batailles pour pouvoir jouer nos figurines). La charge est massive et menace la colline sur laquelle se trouvent les empereurs de la Coalition. Mais Murat a négligé de prévoir une réserve. Plusieurs petites formations de cavalerie russes, prussiennes et autrichiennes s’interposent et après d’âpres combats repoussent les assaillants jusqu’à leur propre artillerie.
Saurons-nous changer le cours du destin ?








  Premiers contact.
 


  
Dès le premier engagement, les Polonais suivis des dragons français vont tout renverser au centre, alors que sur la droite les Autrichiens tentent vaille que vaille de sauver l'honneur face aux chasseurs et dragons. 



 
Sur le flanc opposé, les hussards repoussent deux régiments autrichiens alors qu'arrivent derrière de nouvelles unités qui vont freiner l'ardeur des Français.


  Ni d'un côté, ni de l'autre, l'artillerie ne jouera un rôle important au cours de l'engagement..


  ...pas plus, d'ailleurs, que les infanteries retranchées dans leurs villages respectif.



  La cavalerie lourde alliée se prépare à charger.

    
Les Ffançais poursuivent les chevaux-légers autrichiens alors que des hussards en désordre tentent de s'interposer.


Au centre, les Polonais poursuivent les hussards prussiens pour venir, eux aussi, percuter des uhlans en désordre munis de lances devenues inutiles. 

   
Poursuivant leur avance, les Français tombent sur les premières lignes d'infanterie placées en réserve. Mais face à l'opiniâtre résistance autrichienne, la fougue et l'audace des Français ne leur permettent pas de forcer le passage. L'infanterie et la cavalerie des "Kaiserlichs", soutenues par l'artillerie, auront raison des assaillants.



Au centre, c'est la suite de la déconfiture alliée : toutes les unités légères prussiennes refluent... seule une unité de cavaliers lourds tentent encore d'endiguer le flot.



D'autres escadrons russes et autrichiens, arrivées en renforts, essayent eux aussi de ralentir la furia des hussards français.


мать засранец ! même de ce côté là il y aurait un doute ?




L'infanterie russe intervient pour, là encore, permettre à la cavalerie alliée de s'échapper.

    
Au final, l'aile gauche française a quasiment rejeté hors de la table ses adversaires (sauf une unité bien esseulée),

Au centre, ce n'est guère plus brillant pour les Alliés, mais la lourde en impose quand même. 

Quant à l'aile droite, elle ne pourra entamer sérieusement les Russes nouvellement arrivés sur le champ de bataille.

 

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