Sauf que, l'engagement ne s'étant pas déroulé comme prévu, l'armée française étant encore capable de sérieux coups de griffe, ce sont les Russes qui replient maintenant, et avec précipitation.
Le salut se trouve derrière le cours d'eau, franchissable uniquement par ponts, au préalable minés.
Voyant ses hommes talonnés par les Français revanchards (mais sans cavalerie) et risquant l'anéantissement ou la capture, l'état major russe envoie ce qu'il a sous la main en réserve: Chasseurs et marins Garde, Grenadiers de Iekatarinoslav et de Pavlov, Uhlans et Cosaques Garde, plus une énorme mais lente batterie de 12 de la Garde.
Les Français, pourtant supérieurs en nombre, n'ont pas été assez rapides pour régler leur affaire aux fuyards avant l'arrivée et la mise en place des renforts russes.
Une fois ceux-ci en position, la noix étant devenue alors trop dure à casser, les hommes de Napo n'ont pu que regarder l'armée russe leur échapper...
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